Et paf, un numéro dans la lucarne… 82, ça m’a fait penser à 1982… Séville… un match de coupe du monde de foot. Je ne l’ai pas vécu car bien trop jeune à l’époque (je tapais encore dans les petits pots certainement) mais j’en ai fortement entendu parler au cours des années qui ont suivi. Certainement l’un des plus grands drames de l’histoire de l’équipe de France de foot (avant les années « bouh je fais la tête, je ne descends pas du bus pour la sortie scolaire ») où les p’tits gars en bleu et short moule-burnes se sont fait découpés par des allemands survitaminés.
Alors où est le rapport entre Séville 82 et la Mine ? Qu’est ce qu’on en a « à foot » ? On va consacrer ce numéro 82 aux désastres musicaux fait par des sportifs (ou à leur intention, c’est pas mal non plus). Au programme, un florilège d’actions décisives sur du son de qualité, de filets transpercés par du rythme lourd et de mélodies chaloupées fraiches comme l’herbe verte des près.
En y regardant de plus près, c’est autant un voyage dans le temps qu’une exploration du sport et de la musique avec leurs progénitures. On évitera les tackles à la gorge, on se contentera d’égratigner les protèges tibias…