Chronique de Nectar
SYCOMORE
UFV RECORDS
Si il y a bien un truc que nous avons fait exprès, c’est de câler 3 chroniques à la suite d’anciens Anorak, qui pour le coup sont très prolifiques.
Second album, pour Sycomore, content déjà de retrouver un artwork de Mamzelle Mamath et paru sur un label que nous affectionnons particulièrement aussi. Alors quand les éléments sont réunis pour aller dans le bon sens, vous croyez que nous allons nous priver d’en parler.
Phantom Wax était bien graisseux à souhait pour un premier jet. Nectar, lui surprend, distribue les taloches qui claquent assez sèchement dans le traitement du son, sans que le groupe lâche une once de terrain sur le double kick et craquage de voix qui butte du castor, celui-ci est habilement accessible, d’une fluidité. D’algebra à Master plan au chouette final noisy d’Iron Mask, Sycomore prouve qu’en fruits et légumes, le trio en connait un rayon et te le font manger version autobahn, défrichage, rouleau compresseur. Une cuillère pour papa, une cuillère pour maman, pif ! paf !
Pawl Ahk
[hupso]