Chronique de l'album Nord
LAURA CAHEN
Comme une boussole aux réverbérations étherées indiquant le nord, ce disque nous est présenté comme une épopée en quête des racines et d’un voyage à travers le monde filmé dans un noir et blanc le plus classieux. A la fois intimiste, épuré, minimaliste, fragile, les orchestraions savent aussi s’ouvrir les grands espaces, il y a du émili(y)e Simon et Loizeau la-dedans, mais quand les choeurs de «Froid» tournent, sans faire injure, je pense à Ennio Morricone.
Au fil des écoutes, Nord impose un univers, avec une certaine froideur, mais qui en fait une petite pépite.
Pawl Ahk
[hupso]