

Chronique
Sophie Oz
Pas de bol les filles, dans ce numéro, il n’y a pas de page Grrrrly.
La fois dernière, dans la Mine précédente, je suis arrivée trop tard pour y participer ! Eh bien pour la peine, aujourd’hui, j’vais vous causer d’une nana qu’est Grrrrly à mort. Sophie OZ, qu’elle s’appelle. En voilà un blaze osé ! Ça donne envie d’en croquer.
Une vrai thug total swag. Ouais, une vraie voyoute parce qu’avec ses petites mains délicates, elle fait jaillir des notes qui forment des mélodies chimériques et vaporeuses. Totalement stylée, car sa voix donne des frissons qui défriseraient un ange. Sur cette (trop courte) galette, Sophie OZ est accompagnée d’une guitare, d’une basse et d’une batterie. Trio qui évolue discrètement comme une nappe de brume au fond de la forêt, tandis que le piano et le chant flottent gracieusement sur la cime des arbres.
Six titres, doux comme des plumes, à découvrir avant le déluge.
Lili Trash
[hupso]